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Il peut être utile (par exemple dans le cadre d’un script de sauvegarde) de pouvoir démarrer une machine distante via le réseau.

Cette pratique s’appelle le Wake On Lan (WOL).

En pré-requis il faut que la machine à reveiller soit sur un réseau local et qu’elle soit connecté via RJ45 ou  CPL (pas de WiFi)

Pour réveiller un PC on doit connaître l’adresse MAC de sa carte réseau, pour cela :

  • Sous Linux :
ifconfig

L’adresse MAC se trouve sur la première ligne, zone HWaddr

  • Sous Windows :
ipconfig /all

L’adresse MAC est désignée par « Adresse Physique », la noter en remplaçant les – par des :


Éteindre le PC à réveiller.

Sur le PC Linux devant effectuer le réveil il faut ensuite installer le paquet wakeonlan :

sudo aptitude wakeonlan


Il suffira ensuite pour réveiller le PC voulu de saisir la commande suivante :

wakeonlan [Adresse MAC]

 

Edit 264/06/2011 : Voir aussi mon article Allumer / éteindre un PC sous Linux à distance (scripts)

 

Remarque :

Si cela ne fonctionne pas, il se peut que la fonctionnalité de WOL soit désactivé sur votre carte réseau.

Pour s’en assurer sur un PC Linux :

sudo ethtool eth0

Qui doit renvoyer :

Supports Wake-on: g

Si ce n’est pas le cas lancer la commande, je vous conseille la lecture de l’article indiqué dans les source de ce post (chez moi cela à toujours fonctionné du premier coup…)


Sources :

http://doc.ubuntu-fr.org/wakeonlan

Afin de recenser l’ensemble des configurations faite sur mes PCs en un lieu unique, je commence à mettre en place des pages (au sens WordPress).


Le principe de ces pages est de lister (par thème) les configurations, installation effectué sur mes PC Ubuntu.

Ces pages ne listent que les commandes, fichiers de configurations mis en œuvre, elles ne contiennent pas d’explications mais en fin de section il y aura le lien vers l’article déjà posté et plus verbeux.



Je viens de mettre en ligne la première page pour sweetBox concernant Freevo, elle est accessible dans l’en-tête de ce blog (à côté du « à propos »).



Si il y a bien un sujet sur lequel je ne croyais pas possible d’apprendre quelque chose, c’est bien le touchpad (dispositif de pointage sur les ordinateurs portables)
 
En effet quoi de plus simple, on bouge le doigt sur la zone, la souris bouge….
 
Mais en fait il existe des zones et des actions spécifiques, j’en connaissais quelques une mais pas toutes.
 
Pour commencer une petite image d’un touchpad avec différentes zones matérialisées :
 
Différentes zones du touchpad

Différentes zones du touchpad

http://www.flickr.com/photos/clf/ / CC BY 2.0


  • La zone principale non délimité ci-desssus permet de bouger la souris.
  • Lorsque l’on tapote dans cette zone cela fait un simple clic
  • Un double tapottement réalise un double clic (étoiles mauves)
  • Enfin un simple tapottement sur un élément suivi d’un mouvement fait un glissé-déposé


Ce sont là les fonction de base, viennent ensuite les zones spéciales :

  • un mouvement de glissement vertical dans la zone de droite (en jaune) fait défiler l’ascenceur vertical
  • un mouvement de glissement horizontal dans la zone basse (en bleu) fait défiler l’ascenceur horizontal
  • on arrive ensuite au fonction que j’ai découverte il y a peu, un simple tapottement sur le coin haut – droite (étoile rouge) réalise un clic bouton du milieu (équivalent au clic sur la molette de la souris)
  • un simple tapottement sur le coin bas- droite (étoile verte) réalise un clic bouton droit


Sur mon Dell avec Jaunty, tout à fonctionné par défaut mais en focntion des modèle de PC il peut être nécessaire de réaliser quelques configuration dans le ficheir xorg.conf (cf. articles dans les sources) 



Sources :

Etudier les paramétrages avancés : http://philipjm.free.fr/blog/index.php?2008/11/10/137-maitriser-le-pave-tactile-touchpad-sous-linux

http://www.debuntu.org/2006/06/18/67-how-to-setting-up-touchpad-on-a-laptop-a-complete-guide/5

http://codeidol.com/unix/fedora/Using-Fedora-on-Your-Notebook/Configuring-a-Touchpad/



Je ne suis pas un grand fan des économiseurs d’écran (jusqu’alors je ne n’avais aucun) mais je me suis dit que si cela permettait au retour d’un petite pose de revoir des photos numériques prises puis oubliées dans un coin du disque dur cela pouvait avoir un intérêt.


Je me suis donc mis en quête d’un économiseur d’écran qui parcours et affiche aléatoirement les images d’un répertoire (et sous-répertoire).

il ne m’a pas fallu longtemps pour trouver que Gnome en propose un installé par défaut.


il est activable via :

Système > Préférences > Économiseurs d’écran


Et répond au doux nom de « Dossier d’images » (dingue le nombre d’économiseur d’écran par défaut sous Gnome…)


Il répond au besoin SAUF que l’on peut quasiment pas le paramétrer.

A part le délai d’inactivité et 2 autres option sans grand intérêt (pour moi) rien d’autre.


Par défaut il prend toutes les images présentent sous le raccourcis « Images » dans votre /home, or dans mon cas je veux que les photos numériques qui sont dans un sous-répertoire de Images.


Le salut viendra de la ligne de commande.

Éditer le fichier suivant :

/usr/share/applications/screensavers/personal-slideshow.desktop


Et ajouter à la fin de ligne Exec l’option « location=[votre_chemin]« , ce qui donne :

[Desktop Entry]
Encoding=UTF-8
Name=Pictures folder
Comment=Display a slideshow from your Pictures folder
Exec=slideshow --location=/home/[utilisateur]/Images/Photos
TryExec=slideshow
StartupNotify=false
Terminal=false
Type=Application
Categories=GNOME;Screensaver;
OnlyShowIn=GNOME;
X-Ubuntu-Gettext-Domain=gnome-screensaver

Il semble que le ~ ne soit pas pris en compte il faut mettre le chemin complet vers le home de votre utilisateur.

Attention à ne pas vous tromper de ligne, TryExec contient aussi le mot slideshow et si vous ajoutez l’option sur cette ligne non seulement cela ne marchera pas mais en plus l’économiseur d’écran « Dossier d’images » disparaitra de la liste des économiseurs d’écran (j’ai pesté 10 minutes avant de me rendre de mon erreur).


Source :

http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?pid=2798403

http://linuxmanua.blogspot.com/2008/06/tuto-paramtrer-lconomiseur-dcran.html

http://krissdogg.com/index.php?post/2008/06/23/PARAMETRER-leconomiseur-decran-Dossier-images

Cet article à été crit lors de la mise à jour de 2.7.1 ver 2.8.2, mais il est suffisamment générique pour être utilisé quelque soit la version de départ et d’arrivé.


En effet chez Free la mise à jour automatique que ce soit des extensions ou de wordpress échoue avec un message du genre :

Le téléchargement a échoué.: Operation timed out after 2000 milliseconds
with xxxx out of yyyy bytes received


Cela doit provenir d’un paramétrage des serveurs apache chez Free.fr, donc impossible de passer outre.



La mise à jour doit donc se faire manuellement :


Noter les extensions à mettre à jour

La mise à jour automatique ne marchant pas chez Free, je dois bien avouer que j’ai souvent du retard dans les version d’extension.

On en profitera donc pour toutes les mettre à jour.

Aller dans la page de gestion des extensions installées et noter toutes celles qui ne sont pas à jour, ou mieux cliquer sur « aller sur le site de l’extension » et télécharger la dernière version de chacune des extensions.


Sauvegarde des fichiers

Se connecter sur votre compte FTP free avec votre client FTP (exemple FileZilla), sélectionner l’ensemble des fichiers et répertoires sur le FTP et les télécharger en local.


Sauvegarde de la base

Peut se faire en même temps que l’étape précédente, se connecter sur votre interface d’administration MySQL (phpMyAdmin) à l’adresse http://phpmyadmin.free.fr/phpMyAdmin/

Saisir login et mot de passe, puis aller dans l’onglet Exporter.

La seule modification du paramétrage de l’export que j’ai réalisé concerne la compression (pas de compression par défaut, j’ai mis « zippé »).

Cliquer sur « Exécuter » et télécharger le fichier zip généré.


Téléchargement de WordPress

Aller sur le site http://www.wordpress-fr.net/telechargements et télécharger la dernière version localisée de WordPress.

En profiter pour télécharger les archives des extensions à mettre à jour (cf. étape 1) depuis http://wordpress.org/extend/

Décompresser WordPress et les extensions dans des répertoires distincts.


Upload des fichiers via FTP

Dès lors que la sauvegarde de l’ancienne version de wordpress est terminée, uploader via FileZilla l’ensemble des fichiers et répertoires présents sous le répertoire wordpress de l’archive téléchargé.

Confirmer le remplacement des anciens fichiers.

Aller boire un café cela peut prendre du temps.


Mise à jour des extensions

Uploader le répertoire de chacune des extensions dans wp-contents\plugins


Connexion sur le tableau de bord

L’upload terminé, croiser des doigts et se connecter sur l’interface d’administration de wordpress.

Dans mon cas aucun problème, mais certaines personnes hébergés chez Free on eu quelques frayeurs avec un plantage complet.

Cela est dû à l’utilisation massive de function de php5 alors que par défaut les compte Free sont en php4.


La solution mettre un fichier .htaccess contenant

php 1

à la racine de votre site, ce fichier indique au serveur apache de chez Free qu’il faut utiliser la version 5 de php en lieu et place de la 4.x.


Vérifications

Faire un petit du propriétaire, vérifier les principales fonctions d’administration, upgrader le schéma de base pour l’extension Askimet et voila vous êtes à jour.


Précautions supplémentaires (non appliquées)

Il est parfois conseillé de désactiver toutes les extensions avant de faire une mise à jour.

Dans les règle des l’art il faut se monter un serveur de test en local sur son PC, installer sur ce serveur les sources WordPress en prod, tester l’upgrade en local avant de le réaliser en grandeur nature sur le serveur distant (cf. 1er lien des sources)


Sources :

http://wordpress-tuto.fr/sauvegader-upgrader-wordpress-245

http://fanta78.free.fr/index.php/2009/wordpress-2-8-fatal-error-free-fr/



Mise à jour :

changement du titre pour rendre l’article générique 2.7 –> 2.8