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Article rapide car à chaque fois j’oublie comment faire….

Le problème :

  • Accéder à un gestionnaire de fichier « graphique » sur un serveur headless
  • Le tout depuis un Mac (déport d’affichage, X-forwarding)

Le serveur étant headless, il faut installer un gestionnaire de fichier ayant  le moins de dépendance possible (il ne doit pas installer tout Xorg/Gnome/KDE).
En voici quelques un :

  • PCManFM : 51 dépendances, 39 Mo
  • XFE : 75 dépendance, 67 Mo
  • QtFM : 1 seul paquet (pas de dépendance), < 1 Mo, pas dans les dépôts
  • emelFM2 : 1 seul paquet (pas de dépendance), < 2 Mo

(Cet article étant commencé depuis au moins 3 ans, le nombre de paquet et la taille de ces programmes à peut être changé)

Personnellement j’ai installé emelfm2.

Sur le serveur Linux toujours, s’assurer d’avoir xauth install et l’option X11Forwarding à yes dans /etc/ssh/sshd_config.

Sur le Mac, il faut installer XQuartz : https://www.xquartz.org/

Lancer XQuartz et dans le terminal qui s’ouvre lancer la commande :

ssh -X -Y -C -f  [utilisateur linux]@[serveur linux] emelfm2

Et voila…

 

Je me suis pas mal battu pour y arriver, alors si ça peut servir à quelqu’un d’autre…

Le contexte :

  • Le serveur hôte est sous Ubuntu 14.04
  • Le conteneur est aussi sous Ubuntu (template download, paramètres « -d ubuntu  -r trusty -a amd64″)
  • Un périphérique USB est connecté sur l’hôte (un jeelink pour être précis) il apparait en tant que /dev/ttyUSB0
  • Je veux monter ce périphérique dans le conteneur

En premier lieu on doit trouver le numéro majeur et mineur du périphérique USB, pour cela un simple ls suffit sur l’hôte :

$ sudo ls -la /dev/ttyUSB0
crw-rw---- 1 root dialout 188, 0 sept.  1 16:08 /dev/ttyUSB0

Le périphérique a ici le numéro 188,0

 

Il faut ensuite autoriser ce périphérique dans le conteneur (cgroups), cela se fait dans le fichier de config de ce dernier (/var/lib/lxc/[conteneur]/config).

On ajoute simplement la ligne suivante :

lxc.cgroup.devices.allow = c 188:0 rwm

On peut dès lors démarrer le conteneur et monter le périphérique dans le conteneur avec la commande suivante :

sudo lxc-device -n [conteneur] add /dev/ttyUSB0

C’est déjà pas mal mais on peut faire mieux et monter automatiquement le périphérique au démarrage du conteneur, pour cela au fichier de config du dit conteneur on ajoutera :

lxc.autodev = 1
lxc.hook.autodev=/var/lib/lxc/[conteneur]/autodev

On appelle un script (nommé autodev) en se branchant sur un hook de LXC, ce script contient les commandes nécessaire pour monter le périphérique :

#!/bin/bash
cd ${LXC_ROOTFS_MOUNT}/dev
mknod ttyUSB0 c 188 0
chmod 0666 ttyUSB0

Il faut rendre ce script exécutable :

$ sudo chmod +x /var/lib/lxc/[conteneur]/autodev

 

Et à chaque démarrage le script est joué (au bon moment) et le périphérique monté dans le conteneur.

Pour une raison de disponibilité de disque on peut vouloir créer un miroir ZFS avec un seul disque, voici comment procéder :

Créer un fichier de type bloc simulant le disque manquant :

sudo dd if=/dev/zero of=/zfs1 bs=1 count=1 seek=1024G

(j’aurai tendance à dire que la taille du fichier, seek doit être égal à la taille du disque manquant, dans le pool ZFS, mais je n’ai pas testé plus que cela)

Création du pool ZFS miroir avec le disque que l’on a et le fichier bloc.

sudo zpool create -f tank mirror /zfs1 /dev/sdd

(si le pool existe déjà on utilisera la commande zpool add -f pour ajouter un nouveau miroir)

On enlève le périphérique bloc et on le supprime.

sudo zpool offline tank /zfs1
sudo rm /zfs1

Vérification :

 

sudo zpool status
 
  pool: tank
 state: DEGRADED
status: One or more devices has been taken offline by the administrator.
        Sufficient replicas exist for the pool to continue functioning in a
        degraded state.
action: Online the device using 'zpool online' or replace the device with
        'zpool replace'.
  scan:
config:
 
 NAME                                 STATE     READ WRITE CKSUM
 tank                                 DEGRADED     0     0     0
   mirror-0                           DEGRADED     0     0     0
     /zfs1                            OFFLINE      0     0     0
     sdd                              ONLINE       0     0     0

Le miroir est bien présent, le pool est dégradé car il manque un disque.

Je me vois obligé de fermer les commentaires de ce blog, en effet Free m’a déjà suspendu 2 fois à la troisième ce sera définitif.

J’ai bien tenté le plugin Askimet mais ce dernier ne fonctionne pas/plus chez Free (qui bloque toutes les connexions sortantes), j’ai ensuite réussi à bloquer les spam pendant pas mal de temps via l’ajout d’un champs caché mais les spammeur s’adaptent (c’est à ce moment que je me suis fait suspendre la première fois).

Ma dernière tentative à donc été le plugin Antispam Bee qui a fonctionné environ 15-30 jours et là il ne bloque plus rien (contre plus de 400 spams/jour au début).

Bref j’en ai marre, dommage pour l’interaction mais je n’ai pas de temps à consacrer à ce problème.

Pour ceux qui voudraient me contacter il ne reste plus que mon email : voidandany arobase free point fr

Le but étant d’installer un système ne content que le nécessaire on commence par installer une version ligne de commande d’Ubuntu, c’est à dire sans bureau (Gnome / KDE / Unity) et donc sans tous les logiciels qui l’accompagne (LibreOffice, Firefox, etc), bref comme un serveur mais avec un kernel desktop (une veille habitude chez moi suite à des problèmes remontant à la 07.10 avec le kernel serveur..)

Rque : rien de bien révolutionnaire dans ce post, c’est plus un pense-bête pour moi (surtout la partie partitionnement)

 

Depuis cette page télécharger l’ISO du CD alternate (en 32 ou 64 bits au choix)

Créer une clé USB bootable d’installation depuis un autre poste Ubuntu (logiciel « Créateur de disques de démarrage ») ou graver l’ISO sur un CD

Booter le nouveau PC sur le CD ou la clé USB

Choisir la langue  : Français

Se placer sur la ligne « Installer Ubuntu », appuyer sur F4 et sélectionner « Installer un système en ligne de commande »

Répondre aux questions :

  • Pays : France
  • Détecter l’agencement du clavier : Non
  • Pays d’origine du clavier : Français
  • Disposition du clavier : Français – Français (variante)

L’installeur démarre et configure le réseau…

  • Nom de la machine : narya
  • Nom complet de l’utilisateur : …
  • Identifiant de l’utilisateur : …
  • Mot de passe : … (2 fois), si votre mot de passe est trop court/simple, l’installeur vous avertira et vous demandera si vous voulez l’utiliser tout de même.
  • Chiffrer votre dossier personnel : Non
  • Timezone : Europe / Paris – Is this timezone correct ? : Oui (cette écran à échappé à la traduction…)

Vient la partie la plus compliquée, le partitionnement.

  • Choisir « Assisté – utiliser tout un disque avec LVM »
  • « Disque à partitionner », sélectionner le disque (par précaution j’en ai mis qu’un…)
  • « Les tables de partitions de périphérique suivants seront modifiées (…) Écrire les modifications sur les disques et configurer LVM » : Oui
  • « Quantité d’espace sur le groupe de volume pour le partionnement assisté : [taille totale du disque] » : Continuer

Le programme de partition créé un volume avec l’espace total du disque et propose de créer 2 volumes logiques swap_1 et root, de les formater respectivement en swap et ext4.

On refuse cette répartition (sélectionner Non)

  • Dans la fenêtre suivante, dans le menu sélectionner « Configurer le gestionnaire de volume logique (LVM) »
  • Les tables de partitions de périphérique suivants seront modifiées (…) Écrire les modifications sur les disques et configurer LVM : Oui (de nouveau)
  • Supprimer un volume logique, sélectionner le root qui prend toute la place

On peut alors créer chaque volume logique :

  • Créer un volume logique
  • Groupe de volume, sélectionner le seul existant
  • Nom du volume logique : root
  • Taille du volume logique : 10 GB
  • Créer un volume logique
  • Groupe de volume, sélectionner le seul existant
  • Nom du volume logique : home
  • Taille du volume logique : 50 GB
  • Créer un volume logique
  • Groupe de volume, sélectionner le seul existant
  • Nom du volume logique : data
  • Taille du volume logique : tout le reste

On sort alors du partitionnement LVM : Terminer

La liste des partitions LVM est alors affichée, on les sélectionne les une après les autres pour sélectionner le système de fichier (Utiliser comme) et le point de montage.

  • 10GB           Système de fichier journalisé ext4          / Système de fichier racine
  • 50 GB         Système de fichier journalisé ext4           /home Répertoires personnels des utilisateurs
  • 1.9 TB          Système de fichier journalisé ext4          Autre : /data

Terminer le partitionnement et appliquer les changements

L’écran suivant récapitule les partitions, « Faut il appliquer les changements sur le disque » : Oui

Le formattage des partitions commence puis l’installation proprement dite.

Au bout d’un certain temps, lorsque l’installation est terminée, on une nouvelle série de questions :

  • Installer le programme de démarrage GRUB sur le secteur d’amorçage : Oui
  • L’horloge système est elle à l’heure universelle UTC : Oui

Retire le CD lorsque c’est indiqué et « Continuer », le système reboot