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Cet article est une mise à jour de :

Qui concernait l’utilisation de l’interface WebUI de la version 1.1.x, or depuis la version 1.2.0 l’interface Web a complétement changé.

RQUE : il est conseillé de lire l’article Deluge : un client torrent modulaire avant celui-ci



Les copies d’écran suivante ont été réalisées sur la version 1.2.0 RC 5 qui est la dernière disponible pour Ubuntu Jaunty sur le PPA Deluge


Lors de la connnexion sur l’URL de l’interface Web de Deluge, on est invité à saisir son mot de passe (qui je le rappelle est « deluge » par défaut).

Deluge WebUI 1.2.0 - connexion


Puis première nouveauté, la nouvelle interface WebUI semble pouvoir se connecter à plusieurs démon Deluge pour les adminsitrer, un fenêtre apparait donc avec listant les hôtes connus (détectés ?) et vous invite à choisir celui sur lequel vous souhaitez vous connecter.


Dans le cas d’une ainstallation standard il n’y aura qu’un seul hôte qui est le même que celui qui heberge l’interface web.

Deluge WebUI - Hote


On accède alors à l’interface WebUI, le look globale a changé mais rien de révolutionnaire, si ce n’est que cette dernière est désormais full AJAX et s’actualise en temps réel.

Je ne détaillerai pas ici l’interface, mais je vais me concentrer sur le paramétrage qui est accessible via le bouton « Préférences »

Le mot new indiquera les paramètres nouveaux par rapport à la version 1.1.9.




Downloads

Deluge WebUI - downloads

• Download to : Emplacement où les fichiers téléchargés sont stockés

Move completed to new : Emplacement où le fichiers seront déplacé lorsque le téléchargment est terminé.

Très pratique lorsque la machine réalisant les téléchargement fait aussi office de médiacenter, cela permet de déplacer le fichier dans le répertoire « Films » du médiacenter que lorsque ce dernier est complet

Ce paramètre existait auparavant mais il n’était pas accessible par l’interface Web

Copy of .torrent files to : Emplacement de sauvegarde des fichiers .torrent (pas utile dans mon cas)

Autoadd .torrent files from : Répertoire scruté par le démon Deluge à la recherche de fichier .torrent, dès qu’il en trouve un il démarre le téléchargement.

Très utile pour réaliser du téléchargement automatique de série via un flux RSS (cf. ici)

Use full/compact allocation : Indqiue si Deluge doit allouer tout l’espace nécessaire au fichier à télécharger (full allocation) ou au fur et à mesure du besoin (compact allocation).

Prioritize first and last piece of torrent : Téléchargement en priorité du début et de la fin du fichier, permet de regarder le début d’une vidéo alors que le téléchargement n’est pas encore fini.

Cela n’est possible qu’avec des lecteurs vidéo supportant de lire des fichiers incomplets (VLC par exemple).

Cela peut servir à s’assurer de la qualité d’une vidéo avant la fin du téléchargment.

Add torrent in pause state new : Indique que les torrent nouvellement ajouté sont en pause (pas utile dans mon cas)



Network

Deluge WebUI - Network

Incoming Ports / Use Random Port : indique que les connexions entrantes doivent se faire sur un port aléatoire, changeant à chaque démarrage de Deluge (ou à chaque nouvelle connexion ?)

Incoming Ports / From - To : Plage de port parmis laquelle Deluge choisi le port pour les connexions entrantes

L’utilisation d’un port aléatoire est plus sécurisée que d’avoir un port fixe (est ce vraiement sure ?), mais dans le cas où vous êtes dérrière un routeur cela posera un problème puisque le port à ouvrir sera différent à chaque re-demarrage (à moins d’utiliser uPnp)

Dès lors que l’on est dans cette configuration (dérrière un routeur) on choisira donc un port fixe que l’on configurera dans le routeur.

Pour choisir un port fixe il suffit de mettre le même numéro de port dans les zones From et To et de décocher la case Random

Outgoing Ports / Use Random Port new : Idem mais pour les connexion sortantes

Outgoing Ports / From - To new : Idem mais pour les connexion sortante

Contrairement au connexions entrantes il n’y a pas de contre-indication à utiliser un port aléatoire pour les connexions sortantes derrière un routeur.

Seul contre-indication possible si vous êtes derrière un Firewall bloquant par défaut toutes les connexion sortantes.

• Network Interface new : ??

• Peer TOS Byte new : Type of Service (cf. http://en.wikipedia.org/wiki/Type_of_Service) est un identifiant qui est inséré dans l’en-tête des trames IP et qui permet d’identifier le service générant la trame. Cet identifiant permet alors de faire de la QoS visant à prioriser les flux réseaux les uns par rapport aux autres.

UPnp : Universal Plug and Play (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Universal_Plug_and_Play), permet l’ouverture automatique du port nécessaire à Deluge par les routeurs supportant ce protocole (résoud le problème précédent de port aléatoire – à creuser avec le routeur WRT54 – la freebox v5 supporte UPnp)

NAT-PMP : NAT Port Mapping Protocol (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/NAT_Port_Mapping_Protocol) équivalent à UPnp pour les Macs.

Peer-Exchange : Echange de pair (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Peer_exchange), permet de plus rapidement trouver des personnes ayant le fichier voulu.

LSD : Local Peer Discovery, active la découverte de pairs via multicast dans le réseau local accélerant le téléchargement

DHT : Table de hachage distribué (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Table_de_hachage_distribu%C3%A9e), permet de retrouver les utilisateurs ayant le fichier concerné par le torrent.

Dans le cas où on est dérrière un routeur et que l’on travaille avec un port fixe les deux options UPnp et NAT-PMP sont inutiles.

Enfin si on ne fait pas d’échange au sein d’un réseau local (LAN-party par exemple), l’option LSD est elle aussi inutile.



Encryption

Deluge WebUI - Encryption


Inbound : 3 choix sont possibles :

  • Enabled : Deluge accepte les connexions entrantes cryptés ou non.
  • Disabled : seules les connexions entrantes non cryptées sont acceptées
  • Forced : seules les connexions entrantes cryptées sont acceptées.

Outbound : idem avec le flux sortant, à noter que dans le cas de « Enabled » Deluge tente une connexion sortante crypté et si elle échoue, il tentera la même connexion mais non crypté, ce qui n’est pas le cas lorsque « Forced » est sélectionné

• Level : la encore 3 choix :

  • Handshake : Le cryptage n’est actif que lors de l’établissement de la connexion
  • FullStream : Le cryptage est toujours actif  (établissement de la connexion + échange des données)
  • Either : L’un ou l’autre en fonction des capacités du client torrent utilisé par l’autre

• Encrypt entire script : indique que vous préférez Fullstream à handshake lorsque dans le paramètre précédent vvous avez selectionné Either


Attention ces paramètres influent sur le nombre de personnes avec lesquelles vous êtes en mesure d’échanger en fonction des capacités du clients torrent qu’elles utilisent.



Banwitdth

Deluge WebUI - Bandwidth

Global usage Bandwith / Maximum connections : Nombre maximal de connexion ouverte, tous torrent confondu, il est difficile de trouver une règle calcule, la seul trrouvé est celle utilisé dans le calculateur Azureus :

Nombre maximal de connexion = (débit upload (en kbit/s) ^ 0.8) + 50

Dans la limite de 1200 connexions.

Dans la FAQ de Deluge il est conseillé de mettre 200 (quelque soit les caractéristiques de la ligne)

Avec les caractéristiques de ma ligne le calcul donne 260, mais par tatonnement j’ai trouvé que 375 semblait donner de meilleurs résulats

Global usage Bandwith /Maximum Upload Slots : Nombre maximal d’emplacements en upload.

Peut être calculé avec la formule 1 + (max upload speed / 6) mais si on regarde dans la FAQ Deluge il est conseillé 4 (!)

Global usage Bandwith / Maximum Download Speed : Vitesse maximale de téléchargement, 2 écoles illimité OU 0.9 * débit download (en ko/s)

Global usage Bandwith / Maximum Upload Speed

Vitesse maximal d’envoi = débit upload (en ko/s) * 0.8

Je devrais donc mettre 80, mais je préfère limiter à 40 ko/s pour laisser de la bande passante montante pour d’autres services

Global usage Bandwith /Maximum half-open connection : Ce paramètre doit absolument être en raccord avec la limitation que Microsoft impose à ses OS (8 pour XP, 4 pour Vista sauf si vous avez patché tcpip.sys).

Pour un OS Linux pas de limitation spécifique.

Limiter volontairement ce paramètre peut permettre de moins pénaliser les autres applications travaillant avec le réseau sur le système et n’aura pour seule conséquence sur Deluge de placer en file d’attente plus de pairs (cf paramètre max_half_open_connections de libtorrent)

Dans mon cas j’ai mis 20 (la FAQ Deluge préconise illimité)

Global usage Bandwith /Maximum Connection Attempt Per Second La FAQ préconise 20, libtorrent utilise 200 comme valeur pour défaut (paramètre libtorrent  connection_speed)…

Global usage Bandwith /Ignore limit on local network : On peut décocher cette option puisque de toute façon on ne fera pas de download en local.

Global usage Bandwith /Rate limit Ip overhead : Paramètre libtorrent rate_limit_ip_overhead.

Mais n’étant pas un spécialiste en réseau il m’est impossible de comprendre qe quoi il retourne, j’ai donc laissé ce paramétre côché comme par défaut.

 

Les paramètres suivants permettent de réaliser une configuration par torrent.

En effet avec par exemple 100 connexions globales au maximum et 4 torrents en cours on peut imaginer qu’un des torrent prenne les 100 connexions laissant les 3 autres torrents sans aucune connexion.

Il est donc possible d’éviter ce genre de situation avec ces paramètre par torrent.

Dans mon cas cela ne m’importe peu, j’ai donc tout laissé en illimité.



Interface

Deluge WebUI - interface

Show session speed in titlebar new : Affiche la vitesse de téléchargement dans la barre de titre du navigateur

Show filters with zero torrents : Affiche les filtres détats (downloading, seeding, active, etc.) même si ils ne contiennent pas de torrents

Show tracker with zero torrents new :  Affiche les trackers même si ils ne contiennent pas de torrents (mais comment les connait il ?)

• Old Password / New Password / Confirm password : permet de changer le mot de passe d’accès à l’interface WebUI en saisissant le mot de passe actuel et le nouveau 2 fois

• Session timeout new : temps en seconde pendant lequel la session de connexion à l’interface Web reste active même sans action de votre part, au dela de ce temps il faudra se ré-identifier

• Port : Port d’accès à l’interface web

• Use SSL : Utiliser une communication crypté pour l’affichage des pages web (HTTPS), nécessite des paramètrage que je n’ai pas encore creusé.

• Private key new : Paramètre pour la communication SSL

• Certificate new : Paramètre pour la communication SSL

Other

Deluge WebUI - Other

• Be alerted about new release new : Permet d’être avertit (comment ?) lorsqu’une nouvelle version de Deluge est disponible. Inutile sur un système Linux lorsque Deluge a été installé via les paquets de la distribution.

•Yes, please send anonymous statistics new : A la fin de mon article sur la configaration de Deluge (partie 2) je notais la présence de code envoyant des statistiques, on peut désoramis activer ou non cet envoi de statistique.

• GeoIP database new : Emplacement du fichier associant une adresse IP à un pays, ce qui permet d’afficher les petits drapeaux dans la liste des Peers



Deamon

Deluge WebUI - Deamon

• Deamon Port : Port d’écoute du démon Deluge

• Allow remote connections : Administration distante  du démon autorisé ou non – attention à la sécurité

• Periodically check the website for new release new : Comme précedemment, permet d’être avertit  lorsqu’une nouvelle version du Démon de Deluge est disponible (précedemment il s’agissait de l’interface WebUI ?)



Queue

Deluge WebUI - Queue

• Queue new torrent to top : Indique que les torrents nouvellement ajoutés doivent être téléchargés en priorité.

Total active : Nombre torrent actif au total

On pourrait croire que total = downloading + seeding, mais en fait le nombre de torrent maximum rééllement actif est le minimum entre ce qui est paramétré dans total et la somme de downloading + seeding.

exemple :

  • downloading = 3
  • seeding = 2
  • total = 8

On aura effectivement que maximum 5 (3+2) torrent d’actif.

Cf. paramètres libtorrent : active_downloads, active_seeds et active_limit

Total active downloading : Nombre de torrents actifs en téléchargement

Total active seeding : Nombre de torrents actifs en seeding

Do not count slow torrent new :  ?

Share ratio limit, Seed time ratio limit et Seed time limit

Ces paramétres correspondent aux paramètre libtorrent suivant :

  • Share ratio limit = share_ratio_limit
  • Seed time ratio limit = seed_time_ratio_limit
  • Seed time limit = seed_time_limit

Il interviennent dans la façon dont libtorrent gère sa file d’attente (queuing) pour le seed, en gros de ce que j’en comprend si on a plus de torrent terminé (pouvant faire l’objet de seeding) que de torrent autorisé à seeder (paramètre total active seeding), libtorrent se sert de ces paramètres pour determiner les torrents devant seeder.

Je n’ai aucun intérêt à modifier les valeurs par défaut :

  • Share ratio limit = 2
  • Seed time ratio limit = 7
  • Seed time limit = 180

Stop seeding when share ratio reache : Ratio upload/download auquel il faut arrêter de seeder

Valeur par défaut = 2.0 dans mon cas j’ai mis 1.0 (j’arrête de partager dès que j’ai transmis autant que j’ai reçu)

Remove torrent when ratio reached : Indique qu’en plus d’arreter de seeder le torrent lorsque le ratio est atteint, il faut le supprimer de la liste.

 

 

Proxy

Deluge WebUI - Proxy

Permet de configurer un proxy pour différentes fonction de Deluge, n’étant pas concerné (comme 99% des personnes je penses) je n’ai pas creusé le sujet.



Cache

Deluge WebUI - Cache

• Cache size new : Taille du cache pour conserver les données en mémoire et ainsi réduire les accès disque

• Cache expiry new : Délai d’expiration du cache


Plugin

Deluge webUI - Plugin

Permet d’activer ou non des plugins.

Cette fonctionnalité semble bugguée puisque je n’ai pas réussi a activer le plugin Blocklist pourtant très utile.


Voir la configuration du plugin blocklist


Certains documents d’aide sont au format CHM, qui est un format propriétaire de Microsoft rassemblant plusieurs pages HTML dans un même fichier.


Si vous télécargez un de ces fichiers sur Internet et que vous essayez de l’ouvrir, vous aurez un message d’erreur indiquant que la navigation vers la page web est annulée :

CHM bloqué



Pour y remédier il suffit d’ouvrir le panneau des propriétés du fichier (clic droit sur le fichier > propriétés) et de cliquer sur le bouton « Débloquer »

2010-01-08_155910


Vous pouvez désormais ouvrir votre fichier et vous instruire, bonne lecture.



chrome_vs_chromiumChrome est le navigateur Internet proposé par Google, mais lorsque l’on est sous Linux il existe un navigateur très semblable nommé Chromium.


Chromium est un projet Open-Source dont le site est www.chromium.org.

Google à repris ce projet y a ajouté son nom, son logo et 2-3 fonctions et a appellé le navigateur résultant Chrome (site : http://www.google.com/chrome/)


Voici les différences entre ces 2 navigateurs sous Ubuntu (sur d’autre distribution, il peut y en avoir plus)

Chrome Chromium
Logo Aux couleurs de Google (bleu, vert, rouge et jaune) Différentes nuances de bleus
Rapport de crash oui non
Données utilisateur oui non
Système de mise à jour oui non
Profile ~/.config/google-chrome ~/.config/chromium
Cache ~/.cache/google-chrome ~/.cache/chromium


Les données utilisateur sont  :

  • L’identifiant installation unique (IID) : il est utilisé pour comptabiliser le nombre d’installations de Google Chrome qui ont été effectuées, il est supprimé après la première exécution.
  • L’identifiant Client : est un service optionnel qui permet d’envoyer des statistiques dans l’usage que font de Chrome les utilisateurs (utilisation ou non de tel ou tel fonction, etc.)
  • Identifiant Google Update.
  • Identifiant RLZ : contient des informations codés (date, site de téléchargment de Chrome, etc), il est envoyé à chaque recherche faite dans la barre de recherche intégré afin d’avoir des statitistique d’utilisation de Chrome


Chrome ajoute donc 2-3 fonctions utilisateur (mise a jour, rapport de crash) non pertinentes à mon sens + des outils statistique pour eux, bref je ne vois aucune raison de l’utiliser préférentiellent à Chromium…



Sources :

Indique les différences entre Chrome et Chromium et les flux de données lors de différents usage de Chrome/Chromium ou Chrome seulement :

Chromium Blog: Google Chrome, Chromium, and Google

Tableau synthétisant les diférences (sur lequel le miens est basé) :

ChromiumBrowserVsGoogleChrome – chromium – Differences between Google Chrome and Linux distro Chromium – Project Hosting on Google Code

Conditions Générales d’utilisation de Chrome :

Google Chrome pour Windows – Conditions générales

Les informations concernant les différent identifiants utilisés par Google :

Confidentialité, identifiants uniques et RLZ : Confidentialité générale – Centre d’aide Google Chrome


lf4tCLX3175Un des freins à mon adoption complète et définitive d’Ubuntu était mon imprimante qui n’était pas du du tout reconnue (Lexmark X83).


Autant dire que je n’étais pas trop triste quand cette dernière à commencée à ne plus remplir son office (elle n’arrivait plus a prendre le papier).


J’ai donc acheté une nouvelle imprimante compatible Linux : Samsung CLX-3175


C’est une imprimante multi-fonction (comme ma Lexmark), couleur (idem) mais Laser au lieu d’être jet d’encre.


Laser vs Jet d’encre

La raison m’ayant fait choisir le Laser est paradoxalement mon faible besoin en impression (tout au plus 5 pages/mois).

En effet 1 fois sur 2 avec mon imprimante jet d’encre lorsque je voulais imprimer, la tête d’impression était encrassée, voir les buses bouchées, il me fallait donc :

  • soit faire une nettoyage des têtes d’impression (et hop quelques milli/micro-litre d’encre gâché…)
  • soit faire tremper la tête d’impression dans l’ammoniaque (le liquide de rinçage fournis avec les kit de remplissage des cartouches)
  • soit changer complétement la tête d’impression


Au prix où sont vendues les cartouche le jet d’encre pour une utilisation très épisodique est ruineux.


Le laser n’a pas ce problème de séchage (l’encre = toner = poudre), les impressions sont résistantes à l’humidité (pratique pour les recettes de cuisine que l’on pose sur un plan de travail pas toujours très propre et sec) et  l’impression est plus rapide (après le temps de pré-chauffage de la première page).


En contrepartie le rendu des couleurs n’est pas très fidèle, c’est bon pour imprimer des graphique, des images ou des photos « jetable ».


CLX-3175

Pourquoi celle-ci et pas une autre :

Compatible linux (pas toutes les fonctions, ex : le pilotage du PC via l’imprimante)

Pas cher, quand je l’ai acheté elle était à 190€ avec 40€ remboursé par Samsung, aujourd’hui elle est a 250€ sur materiel.net !!!


Installation sous Ubuntu

Venons en au cœur de cet article.

Il n’est pas nécessaire d’installer quoique ce soit pour faire fonctionner l’imprimante sous Ubuntu (au moins Jaunty et plus), par contre pour faire fonctionner le scanner il faut installer des drivers.

On peut choisir 2 sources pour ces drivers :

  • Samsung directement
  • Ou une solution packagée des drivers Samsung


Je vais passer rapidement sur la solution n°1, car je l’ai réalisé il y a quelques temps de ça (je n’a pas pris de notes) et la solution 2 est mieux….


Installation via les outils Samsung

Samsung met à disposition une archive tar.gz, contenant les drivers et des scripts d’installation et désinstallation de ces derniers.

Cette archive est téléchargeable sur le site de Samsung Support en sélectionnant « Solution d’impression » > Multifonction > CLX-3175FW.

Dans l’onglet Pilote (lien direct à la page) il faut sélectionner ‘ »Unified Driver » pour Linux (lien direct)


Il faut ensuite désarchiver et exécuter le script d’installation, ce qui donne :

tar -xvf  UnifiedLinuxDriver_1.01.tar.gz
 
cd cdroot
 
sudo Linux/install.sh


L’installation se lance pose quelque question simple et hop c’est fini.


Il ne faut à priori (pas testé) pas supprimer le répertoire cdroot contenant les fichiers d’installation car certains sont directement utilisé par les drivers (argghhhh, c’est pas propre)



Pourquoi cette solution n’est pas bien ?

A vrai dire, elle n’est pas si mal que ça, elle m’allait très bien, l’imprimante marchait et le scanner aussi.

Mais à priori j’ai eu de la chance, parce que ça peut moins bien se passer, de plus l’installeur et le desinstalleur  fournis par Samsung sont crades :

  • permission 777 sur des fichiers
  • problème de droits
  • remplacement de librairie standard par des librairies Samsung
  • desinstalleur incomplet
  • etc.


Pour une liste plus complète voir ici


Donc après une faute manipulation de ma part ayant conduit au non fonctionnement de mon scanner, j’ai décidé d’explorer le package alternatif.


Package alternatif

Avec cette méthode il suffit d’installer un dépôt tierce, et de faire jouer aptitude.

Les drivers installé seront ceux de Samsung, mais la méthodologie d’installation, les permissions et droits seront correctes.


Avant toutes choses, si vous avez installé les drivers avec l’installeur Samsung, il faut les désinstaller complétement (voir le paragraphe suivant)


Pour installer le dépôt, il faut ajouter la ligne suivante au fichier /etc/apt/source.list :

deb http://www.bchemnet.com/suldr/ debian extra

Puis installer la clé de ce dépôt :

wget -O - http://www.bchemnet.com/suldr/suldr.gpg | sudo apt-key add -


Il ne reste plus alors qu’à installer les différents packages, ils commencent tous par samsungmfp mais tous ne sont pas nécessaire, vous trouverez leur liste et fonction ici, enfin ci-dessous ceux que j’ai personnellement installé :


sudo aptitude update
 
sudo aptitude install samsungmfp-configurator-data samsungmfp-configurator-qt4 samsungmfp-driver samsungmfp-data samsungmfp-scanner



Et voila simple, rapide et propre…



Désinstaller complétement les drivers

Si vous avez installé les drivers avec l’installeur Samsung, il faut lancer le desinstalleur puis supprimer quelques fichiers qui trainent :

sudo /opt/Samsung/mfp/uninstall/uninstall.sh
 
sudo rm /usr/lib/libtiff.so.3*
rm ~/.sshvfavs
rm ~/.sshvrc
sudo rm /usr/lib/libstdc++.so.5*
sudo rm /usr/lib/libqt-mt.so*
sudo rm /usr/lib/libqui.so


Il se peut que le desinstalleur se plante auquel cas il faut désinstaller à la main, je n’ai pas eu le cas, mais tout est expliqué dans le thread du forum Ubuntu listé dans les sources.



Edit 24/03/2010 :

il existe un autre drivers (autres que celui de Samsung) permettant l’impression avec cette imprimante (pas testé)

foo2qpdl: a linux printer driver for QPDL protocol

(Sous Ubuntu 9.10, il n’y même pas besoin d’installer les drivers Samsung pour imprimer, seulement pour scanner)

Edit 25/07/2010 :

Mise à jour de l’adresse du dépôt


Sources :

Cet article est une version francisé et très tres simplifié du thread suivant :

HOWTO Install Samsung Unified Printer Driver – Ubuntu Forums

Dans ce dernier tout est expliqué, que faire en cas de divers problème, les différentes alternative, etc.


Le site suivant est quand à lui le site officiel de la version packagée des drivers, pas mal d’information aussi…

The Samsung Unified Linux Driver Repository

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Article très rapide et succinct.


J’ai récemment réalisé plusieurs scan, et donc obtenu plusieurs fichiers image (png dans mon cas), comment faire pour rassembler toutes ces images dans un seul fichier pdf ?


La réponse, très simplement avec imagemagick :


convert *.png output.pdf


Quand je vous avais dit que c’était simple…


Évidemment si la commande convert n’est pas reconnu, c’est que vous n’avez pas imagemagick d’installé, la commande suivante résoudra ce problème :


sudo aptitude install imagemagick


Au passage si vous ne connaissez pas ce paquet d’outils de traitement d’image en ligne de commande qu’est imagemagick, allez faire un tour sur le site les possibilité sont prodigieuses….


Sources :

http://www.imagemagick.org/script/index.php

http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=789359

Image par xrrr sous CC