Articles plus anciens

Lorsque j’ai commencé à télécharger des podcasts j’ai cherché des adresses intéressantes et un article comme celui-ci m’aurait été utile.

Ci-dessous les podcasts que j’écoute et leur description…


Avec ce lien mon fichier subscriptions pouvant être utilisé avec podracer


Edit 14/05/2009 : Ajout de mon fichier subscription


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Après avoir installé une machine sous Ubuntu, une des première configuration que je réalise est de personnaliser mon bashrc.


Cékoidonc bashrc ?

Ce fichier contient un ensemble de paramétrage du bash (c’est à dire de la ligne de commande) dont la plus utilisé les alias.


Cékoidonc les alias ?

Les alias sont des raccourcis de commande


Un exemple, pour lister le contenu d’un répertoire on fait un ls.

Problème les informations retourné par cette commande sont succintes (nom des fichiers et répertoires).

On peut donc faire un ls -lhA, où l’option l indique que l’on veut le résultat en liste détaillé, le h affiche les tailles dans un format lisible par un humain (1K 234M 2G) et le A pour afficher les fichiers et repertoires cachés, les liens symboliques mais pas les dossiers . et ..

On le voit ça devient fastidieux de toujours faire un ls -lhA d’où l’utilité de l’alias suivant dans le bashrc :
alias ll=’ls -lhA’

Du coup pour avoir le même résultat que ls -lhA on a juste à taper ll. Les alias sont très pratiques et quand on en a pris l’habitude il est difficile d’arriver sur un machine n’ayant pas d’alias ou ayant des alias différents.


Je parle d’un fichier bashrc mais on devrait plutôt parler des fichierS bashrc, en effet ce dernier peut être à plusieurs endroits avec des noms différents :

  • /etc/bash/bashrc : les configurations qu’il contient affectent tous les utilisateurs
  • ~/.bashrc : n’affecte que l’utilisateur dans le répertoire duquel il se trouve


Dans mon cas j’ai opté pour le premier choix, en effet j’ai plusieurs utilisateur mais qui sont utilisés par moi-même…



Ci-dessous mon fichier bashrc, il est normalement pas trop mal commenté je n’en dirais donc pas plus.


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Lors de l’installation de Jaunty minimal sur ma machine sweetBox en dual boot avec Gutsy, je n’ai volontairement pas créé de partition dédié pour le /home.

Ce dernier se trouve donc sur la même partition que la racine du système (/).


Lors de l’installation de Gutsy (il ya maintenant pas mal de temps) j’avais à l’inverse placé le point de montage /home sur une partition dédiée.


L’idée est maintenant d’utiliser cette partition dédié à /home dans Gutsy (déjà le cas) et dans Jaunty, pour cela il faut donc déplacer le /home de Jaunty.


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Ces dernières semaines c’est à la mode d’indiquer les logiciels qu’on installe suite à une nouvelle installation de linux comme ici, la ou la pour Ubuntu, ici pour Fedora ou ici pour Debian.

Mais il s’agit toujours de logiciels dans un environnement graphique (Gnome ou KDE), quid des logiciels en ligne de commande ?

Donc voici les packages que j’ajoute après une installation toute neuve d’Ubuntu en ligne de commande (installation ici) :

  • htop : remplace avantageusement la commande ps
  • vim : la version amélioré de vi, l’éditeur de texte en ligne de commande. Ubuntu en embarque une version limité, mais il vaut mieux installer la version complète (rien que pour la coloration synthaxique)
  • openssh-server : serveur SSH permettant d’administrer totalement une machine headless à distance. La partie cliente est installé par défaut
  • nvidia-glx-96 : les drivers propriétaire de ma veille GeForce 2 MX 400
  • nvtv : Permet de régler quelques paramètres de sortie TV des veilles cartes graphiques Nvidia (je l’utilise pour faire de l’overscan et ainsi avoir une image plein cadre sur ma télé)
  • flexget : Permet de récupérer divers contenus sur le Web (cf. mon utilisation pour télécharger des fichiers torrents de façon automatique ici)
  • subdl : Permet de trouver de façon automatique les sous-titre de fichiers vidéo (cf. mon usage ici)
  • podracer : Client de téléchargment de podcast (cf. mon usage ici)
  • samba : Pour accéder à des machines Windows (dans un usage de sauvegarde)
  • wakeonlan : Permet de démarrer des machines à travers le réseau (dans un usage de sauvegarde)
  • rsnapshot : Script basé sur rsync permettant de réaliser des sauvegardes
  • ssmtp : Serveur SMTP très simple permet de forwarder des mails vers le serveur SMTP de mon fournisseur d’accès
  • nfs : partage de fichier entre machines linux
  • screen : Multiplexeur de terminaux, permet à un utilisateur d’accéder de multiples sessions de terminal à l’intérieur d’une simple fenêtre de terminal, ou d’une session distante typiquement lancée par ssh (Wikipédia). Permet entre autre de lancer un traitement long dans une session screen et de retourner travailler dans une autre session, ou de lancer un traitement dans une session screen via SSH et d’arrêter la session SSH sans arrêter le traitement.

ET quelques logiciels graphiques :

  • usplash + theme : cf. ici
  • Xorg : serveur graphique
  • Freevo : médiacenter (cf. son installation ici)
  • XFCE : environnement de bureau, installé de façon minimal
  • NX server : Permet de déporter l’affichage graphique d’un serveur X vers une autre machine à travers le réseau. Equivalent de TSE sous Windows, VNC, etc mais en beaucoup plus performant.

Ces listes sont surement incomplètes, je les compléterai au fur et à mesure….

Suite à cet article rédigé en utilisant une machine virtuelle, j’ai réalisé l’installation de Jaunty sur ma machine physique sweetBox.


N’ayant pas le temps de tout réinstaller (Ubuntu + XFCE + Freevo + Deluge + Podracer + Flexget + scripts) j’ai décidé de garder le Gutsy qui est présent et fonctionnel et d’installer Jaunty en dual-boot. Cela me permet d’installer progressivement le Jaunty en ayant le Gutsy qui continu de fonctionner.


C’est dans cette situation que je suis content d’avoir gardé de l’espace non patitionné sur mon disque dur, sinon le dual boot, n’aurait pas été si facile à mettre en oeuvre.


Cet article ne présentera pas beaucoup de nouveauté par rapport à celui-ci, mais il a le mérite de présenter l’installation dans la vraie vie.



Installation Jaunty minimal

Une fois sweetBox démenagé du salon dans le bureau (donc branché à un vrai écran, un clavier et du réseau en CPL), on boot sur le CD Ubuntu 9.04 alternate.


Vient ensuite le paramétrage comme décrit ici.

Seule différence le partionnement :

Pour rappel le disque dur de sweetBox est partitionné ainsi :

700 Mo pour le Swap

14.3 Go pour la racine (/)

15 Go pour le /home

50 Go non alloués

J’ai donc créé une partition primaire de 10Go en ext4 en début de disque avec l’indicateur d’amorçage et le point de montage /, ce qui donne pour mon disque :

700 Mo pour le Swap

14.3 Go pour la racine (/) Gutsy

10 Go pour la racine (/) Jaunty

15 Go pour le /home Gutsy

40 Go non alloués


Puis l’installation se déroule jusqu’à une phase de paramétrage supplémentaire par rapport à la maquette sur virtualBox, le message dit en gros :

Les systèmes d'exploitation suivant ont été détectés :
...
Installer le programme de démarrage GRUB sur le secteur d'amorçage ?


Ce qui nous va tout a fait.

Jaunty à détecté son petit frère Gutsy et demande si il doit faire du multi-boot.

On répondra donc Oui.


L’installation se termine, on enlève le CD et on reboot.


Lors de la phase de boot un menu GRUB permet de choisir le système sur lequel on désir booter.

Ce menu est positionné par défaut sur Jaunty et au bout de 10 secondes sans intervention Jaunty boot automatiquement et sans problème.

Pour me rassurer j’ai aussitôt effectué un test de boot sous Gutsy, tout fonctionne parfaitement aussi je n’ai rien cassé.


Modification ordre de boot

Pour changer le système de boot par défaut (Gutsy au lieu de Jaunty), il faut éditer le fichier menu.lst :

sudo vi /boot/grub/menu.lst


Et on changera la ligne

Default 0

par

Default 4


Où 4 est une valeur à adapter qui représente le numéro de ligne du menu Grub représentant le système sur lequel on souhaite démarrer par défaut (faire des essais)


On changera aussi la ligne :

timeout 10

par

timeout 5


Ne laissant que 5 secondes pour modifier le système à booter (permet de réduire le temps d’autant)


Autres paramétrages

Afin de remettre sweetBox dans le salon et de continuer à le paramètrer tranquillement du bureau, j’ai appliqué les configurations indiqué ici

 Et pour avoir un jolie écran de démarrage j’ai installé USplash comme ici.


Reste à faire

Pour que sweetBox puisse tourner sous Jaunty il reste à faire l’installation de :

  • XFCE
  • Freevo
  • Divers outils


Il faudra aussi récupérer la partition /home de Gutsy et remettre en place tous mes scripts (téléchargement, sauvegarde, etc.)


Bref encore du boulot….